La variété de thérapies disponibles actuellement est grande. Comment s’y retrouver?
Lorsque nous souffrons d’un déséquilibre ou d’une maladie et que nous voulons, en plus de notre traitement médical, soutenir notre santé et trouver quelques ressources supplémentaires, les thérapeutes alternatifs ne manquent pas.
En voulant soigner ma maladie de crohn, j’ai moi-même navigué parmi de nombreuses techniques. Décodage biologique, acupression, Seiki, bol d’air dans les bois, homéopathie, visite à la montagne, plaisanter (bien entendu)…
Tout m’a aidé. Tout, à un moment de ma vie, a été un apport, un soutien, un pas de plus vers la compréhension de moi-même et de ma maladie.
Lorsque je me suis allongé pour la première fois sur la table de Martine, ma formatrice, j’était étonné de la rapidité avec laquelle mon corps se retrouvait dans un état de relaxation profonde.
Un état entre le rêve et l’éveil, parfaitement conscient de la pièce et des mains de ma thérapeute qui suivaient le plan inhérent – cette suite purement instinctive dictée par le corps du patient – dans lequel des noeuds se débloquaient, petit à petit.
J’y retournai, des mois durant.
Et puis, je m’y suis formé.
J’ai rapidement été accueilli par le centre le Sénéchal, qui signe en fait une première : de la thérapie cranio-sacrée biodynamique (TCBD) sur le sol nivellois!
Hélas, nous ne sommes pas nombreux en Wallonie à pratiquer cette discipline populaire surtout outre-atlantique et chez nos voisins anglais.
C’est une raison pour venir l’essayer.
Une autre, ce serait de venir goûter à ce silence vibrant appelé dans le jargon de la TCBD le silence dynamique.
Car même le silence a un son, n’est-ce pas?